[éditeur : Jean-Pierre Nizard] [rédacteur en chef : Bernard Savonet] [couverture : Jean-Paul Chagniot] [illustrations : Françoise Guillot, Dragoljüb Roksanditch] #Revue
[auteur : Jean-Luc Verhoye] [thème : Le premier Festival de l'Informatique Individuelle au Sicob] #Edito
L'informatique individuelle, ce furent d'abord les ordinateurs individuels dont l'entrée en force a été consacrée en France par la Boutique Sicob en septembre 1978.
Aujourd'hui, l'informatique individuelle, ce sont surtout ceux, possesseurs ou non de matériel, qui, à titre professionnel ou à titre personnel, utilisent des P.S.I., que ce soit ou non en les programmant. Combien sont-ils ? Ou plutôt : combien sommes-nous ? Plusieurs dizaines de milliers déjà. Il n'y a bien entendu pas que des fanatiques y consacrant la quasi-totalité de leur temps, mais tous sont suffisamment intéressés pour lire régulièrement un magazine tel que L'Ordinateur Individuel.
C'est pour eux et avec eux que L'Ordinateur Individuel organisera au Sicob le premier Festival de l'Informatique Individuelle le samedi 22 septembre 1979 […]
[auteur : Bernard Savonet] [thème : Les micro-ordinateurs vs les mini-ordinateurs] #Edito
Vous trouverez, dans ce numéro, un panorama des systèmes susceptibles d'être utilisés pour des applications professionnelles, panorama à compléter, bien sûr, de certains systèmes de notre panorama précédent (voir n°3) dans leur version maximum.
Des ordinateurs à moins de 60 000 francs que l'on peut utiliser de façon professionnelle ? Certains vendeurs de matériel classique ont vite fait de crier au scandale, voire même à l'escroquerie.
Sans chercher quelles sont les motivations réelles de ces tirs de barrage, attachons-nous à leurs principaux arguments.
Les deux plus courants sont
(1) ces matériels ne présentent pas la même fiabilité que les ordinateurs traditionnels,
(2) ces matériels n'ont pas de logiciel.
Une association renommée pour son sérieux se prépare actuellement à faire passer des tests de fiabilité à la plupart des ordinateurs individuels à utilisation professionnelle ; les plus ardents à demander ces essais étant bien entendu les constructeurs déjà établis qui souhaiteraient que l'on teste les autres matériels.
Signalons au passage qu'un fabricant français d'ordinateurs (mini et au-dessus) a applaudi chaleureusement à cette initiative... à condition qu'elle ne s'étende pas aux mini-ordinateurs
Voilà qui nous confirme dans l'idée que les ordinateurs individuels sont des concurrents tout à fait valables pour les ordinateurs traditionnels, au moins sur le plan du matériel.
« Les ordinateurs individuels n'ont pas de logiciels ». Voire !
Il est certain que l'on ne peut pas trouver pour chaque modèle de PSI une bibliothèque de programmes d'applications (paie, comptabilité, etc.)
comparable à celle de certains « gros » systèmes. Mais, si l'on compare l'ensemble des PSI et l'ensemble des mini-ordinateurs, on constate avec
surprise que les différences sont moins importantes que l'on veut bien le clamer :
- la plupart des « minis » sont livrés sans programmes d'applications, à charge pour l'acheteur de trouver auprès des sociétés de services
les programmes dont il a besoin.
- d'une part, rien n'empêche de faire la même chose avec les ordinateurs individuels - attention cependant, le coût de réalisation d'un programme
par une société de services traditionnelle est à peu près le même, qu'il s'agisse d'un mini-ordinateur ou d'un PSI, ce qui amènera, dans ce dernier
cas, à une part très importante du coût final.
- d'autre part, on commence à voir de plus en plus de Sociétés de Services en Informatique Individuelle, dont les coûts sont nettement inférieurs
pour un certain nombre de raisons :
. de taille réduite, elles ont des frais de structure bien inférieurs ; elles visent des marchés numériquement plus importants, et peuvent donc
espérer amortir leurs investissements sur plus de ventes ;
. et, enfin, elles ne cherchent pas à réaliser des « programmes à tout faire » issus de l'informatique-des-cartes-perforées, et se contentent
de faire des programmes simples et faciles à utiliser, dans lesquels les cas exceptionnels sont traités « manuellement » plutôt qu'« automatiquement ».
Les coûts de réalisation sont donc réduits d'autant.
Cependant, pour que des sociétés écrivent des logiciels, professionnels ou personnels, et puissent en vivre, il y a une condition implicite : que les programmes ne soient pas indûment copiés.
C'est là un point fondamental, et nous sommes tous responsables, aussi bien ceux qui font une copie « pour rendre service » que ceux qui utilisent ces copies.
Inutile d'espérer trouver de bons programmes à un prix raisonnable si ces programmes n'ont pas en fait été achetés : l'auteur du programme, échaudé par une expérience où il avait fixé un bas prix à un programme afin de le vendre à beaucoup d'exemplaires, se contentera, la fois suivante, de le vendre à prix fort à peu d'exemplaires... et nous ne trouverons plus qu'à des prix astronomiques des programmes de jeux d'échecs, de jeux de bridge ou de traitement de textes. Oh, bien sûr, il ne s'agit là que d'un problème de morale, et il est possible de raisonner sans fin sur le Bien et le Mal (majuscules de rigueur) de la copie des programmes.
Avez-vous pensé à relier votre ordinateur à une machine à écrire ? Une utilisation des ordinateurs bien pratique pour ceux qui doivent taper et imprimer des textes.
[auteur : William Skyvington] #Bureautique
Extrait : « Depuis qu'un ordinateur individuel est entré dans mon appartement, il y a un mois, j'ai dû rédiger dans l'euphorie plusieurs milliers d'instructions BASIC pour faire toutes sortes de choses inutiles et utiles... ce qui n'a rien d'étonnant chez quelqu'un qui cohabite pour la première fois avec un tel engin. Ce qui est assez drôle, par contre, c'est qu'il m'est arrivé d'avoir à faire une multiplication, et que je me suis rendu compte avec stupéfaction que c'était la toute première fois, depuis que cette soi-disant « machine à calculer » se trouvait chez moi, que j'avais éprouvé le besoin de lui faire exécuter une telle opération arithmétique. Pire, j'ai constaté - après trois semaines en compagnie de cette charmante créature électronique — que ne savais même pas faire une multiplication en langage BASIC, et j'ai dû consulter le manuel de référence du matériel... pour apprendre que l'on se sert d'un astérisque […]
Qu'appelle-t-on système de traitement de texte ?
Un système de traitement de texte comporte deux parties plus ou moins distinctes suivant les matériels utilisés.
L'éditeur de texte est le programme qui permet de rentrer du texte sans se préoccuper de sa mise en page. L'éditeur de texte permet de créer n'importe quel type de textes (programme FORTRAN ou Assembleur, fichier de données, lettre, etc.), et de le corriger, c'est-à-dire d'ajouter, de supprimer et de modifier des caractères, des mots, des lignes ou des paragraphes.
Le formateur de texte est le programme qui lit un texte créé par l'éditeur et qui en assure la mise en page et l'impression sur une imprimante, généralement de bonne qualité.
D'une certaine façon, on peut dire qu'un texte lu et traité par le formateur de texte est un programme pour le formateur, de même qu'un texte BASIC est un programme pour l'interpréteur BASIC.
Dans les systèmes de traitement de texte les plus sophistiqués, il n'y a pas en fait les deux parties distinctes de l'éditeur et du formateur : on tape le texte sur le clavier, et ce texte est affiché sur l'écran ; des touches de fonction ou des commandes spéciales permettent de déplacer le curseur, d'indiquer des modifications de texte et de mise en page. Il existe d'ailleurs pour les PSI tels que le Sorcerer, le TRS 80 ou le PET, des programmes qui permettent de les utiliser de cette façon très sophistiquée. Le plus connu de ces programmes est Electric Pencil (crayon électrique) écrit par Michael Schreyer.
L'utilisation de tels programmes est nécessaire pour des textes longs, que l'on modifie beaucoup. Si, par contre, les textes utilisés sont toujours ou presque toujours les mêmes, on peut se contenter de systèmes plus « rustiques » : on peut très bien écrire une lettre avec un éditeur de texte rudimentaire, la mettre soi-même en page, et la faire imprimer en autant d'exemplaires « originaux » que l'on souhaite. On peut même, avec de petits programmes BASIC, insérer dans le texte de cette lettre l'adresse d'un correspondant, une formule de politesse ou une autre indication personnalisée, qui permettront d'avoir un exemplaire non seulement original, mais aussi spécifique du destinataire.
Enfin, un éditeur de texte est le moyen le plus simple d'imprimer par exemple des étiquettes : ce sont des textes nécessitant peu de mise en page !
L'utilisation du traitement de texte associé à d'autres techniques, parmi lesquelles les télé-communications et les micro-fiches, connaît actuellement un développement important sous le nom de bureautique.
Les systèmes « professionnels » de traitement de texte coûtent à l'heure actuelle de 70 à 130 000 FF ttc. Les plus évolués se composent d'un clavier, d'un écran, d'une imprimante, d'une ou deux positions de (mini) disquettes et d'une unité centrale (microprocesseur mémoire), que les constructeurs en fait évitent de mentionner de peur d'effrayer leurs interlocuteurs. Il s'agit donc, du point de vue performance, d'ordinateurs individuels tout à fait typiques.
Un système équivalent acheté dans des boutiques coûterait (minidisquettes et imprimante comprises) de l'ordre de 50 000 FF ttc. Et il pourrait en plus effectuer des programmes de gestion ! […] »
Se servir d'un ordinateur dans son travail, cela nécessite que l'ordinateur puisse accomplir nombre de tâches annexes pour gérer les informations, les classer, les ranger et les retrouver.
[auteur : Thérèse Rieul] #Programmation #Conseils #Gestion
Extrait : « Avec l'avènement de l'informatique individuelle, vivons-nous le début d'une évolution capitale pour l'administration et pour la gestion, tant dans la vie privée et personnelle que dans la vie professionnelle ? Pour beaucoup, la micro-informatique évoque l'image d'un tout petit ordinateur, utilisé à des fins domestiques, et surtout consacré à des super-jeux. On admet aussi l'ordinateur individuel se chargeant de la gestion du compte en banque, ou de la mémorisation des recettes de cuisine. Certains, imaginant la gestion de leur fichier-clients ou de leur fichier-fournisseurs sur ordinateur individuel, ont le sentiment d'être audacieux. Invoquant les limites du matériel et l'inexistence de logiciels adaptés, certains professionnels de l'informatique traditionnelle déclarent que l'on ne peut envisager de traitement sérieux à l'aide de ce type d'ordinateur, étant donnée l'impossibilité dans laquelle on serait de gérer des fichiers dans d'assez bonnes conditions […] »
A partir du jeu de la bataille, on peut analyser toutes les étapes qui permettent d'écrire un programme qui tourne réellement.
[auteur : Christophe Disabeau] [thème : Initiation à la programmation] #Initiation #Programmation #Méthode #JeuSociété
Extrait : « Quiconque vient d'apprendre le BASIC — ou tout autre langage de programmation — s'aperçoit rapidement qu'il ne sait pas encore véritablement écrire un programme. Pour passer de l'idée plus ou moins vague que l'on a en tête à un programme qui tourne réellement, il y a tout un travail à réaliser, qui s'appelle : l'analyse programmation, et la mise au point. Nous allons, dans cette série d'articles, étudier l'exemple de ce que l'on fait généralement. Partis de la définition du problème exprimée dans un langage courant, nous arriverons ainsi à un programme qui fonctionne. L'exemple choisi est un exemple simple, un programme que je suis en train d'écrire, et je vous invite à me suivre dans ma réalisation, mes hésitations, les solutions provisoires peut-être remises en cause ultérieurement. De quel programme s'agit-il ? Du jeu de la bataille (aux cartes), que j'écris pour mes tous jeunes enfants […] »
Vous devrez certainement, à un moment ou à un autre, classer vos données, par exemple dans l'ordre alphabétique.
[auteur : Pierre Keller] #Programme #BASIC #Algorithme
Extrait : « Pourquoi ne pas créer dans vos colonnes une nouvelle rubrique « algorithmes de tri » ? En effet, d'une part de nombreuses applications informatiques nécessitent un tri, et d'autre part je pense qu'il est très difficile de trouver des algorithmes de tri efficaces pour un P.S.I. à langage interprété et disposant généralement de peu de mémoire; si on n'y prend garde, on arrive facilement à des temps d'exécution de quinze minutes pour cent articles à trier, ce qui est évidemment excessif. Pour faire un début, je vous propose ci-joint le meilleur algorithme de tri que j'aie trouvé à ce jour. Temps d'exécution de l'ordre de une minute pour trier 100 chaînes de 50 caractères alphanumériques chacune sur un PET 2001 de Commodore. Je souhaite que votre revue suscite une confrontation d'idées qui permettrait certainement d'en trouver de meilleurs, sans qu'il soit nécessaire de descendre au niveau du langage machine […] »
Les règles du tic-tac-toe ne sont vraiment pas compliquées, mais gagner à ce jeu n'est pas si facile.
[auteur : Lionel Ancelet] [thème : Programme de jeu] #Programme #TI #JeuSociété
Extrait : « Le Tic-Tac-Toe est un jeu très facile à organiser, car il nécessite peu de matériel : un crayon et du papier, quadrillé ou non. L'inconvénient, c'est la simplicité du jeu : il est facile de trouver une stratégie gagnante (ou non perdante). Pour vous laisser une chance, le programme que nous vous présentons ici ne joue pas au mieux, et n'est donc pas imbattable. Même si vous ne le battez pas facilement ! […] »
Choisissez l'ordinateur que vous utiliserez pour votre travail : la gamme que nous vous présentons vous donnera une bonne idée des matériels disponibles et de leurs prix.
[auteur : L'Ordinateur Individuel] #Panorama #OrdinateurBureau
Extrait : « Quelles sont les capacités minimales d'un ordinateur individuel utilisé à des fins professionnelles ? Nous l'avons plusieurs fois exprimé dans nos bancs d'essai, mais il nous a semblé intéressant de faire un panorama de ces systèmes en mettant l'accent sur les points importants.
Un tel système comporte toujours un moyen d'entrée (clavier) et au moins un moyen de sortie (écran, imprimante), ainsi qu'une mémoire de masse (cassette, ou, beaucoup mieux, disquettes). Une imprimante sera nécessaire dans 90 % des cas, et viendra donc s'ajouter à l'écran... et augmenter de façon notable le coût.
Côté utilisateur, il faudra un langage évolué, qui sera au moins un interpréteur ou un compilateur BASIC; il faudra également un Système d'Exploitation (Operating System) d'un usage facile mais complet.
Il faudra enfin que, dans le cas où le système tombe en panne, il soit réparé vite, très vite, si le fonctionnement de l'entreprise le nécessite.
En conséquence, on peut dire qu'un système possède au moins :
. un écran/clavier,
. une imprimante,
. deux minidisquettes et un système d'exploitation correct,
. un bon interpréteur ou compilateur d'un langage de haut niveau, au moins BASIC,
. une maintenance rapide et dont les délais de réparation sont garantis […]
Bien entendu, nous n'avons repris dans ce panorama aucun des systèmes présentés dans notre panorama du numéro 3 : il est certain que la plupart des systèmes alors décrits seraient membres de plein droit de ce panorama dans leur version à disquettes, imprimantes. N'oubliez donc pas de jeter un coup d'œil à ce panorama et d'y regarder les données d'achat […] »
Nom | Prix (FF ttc) | Commercialisation (en France) | Société |
---|---|---|---|
CAB 65 | 25072 | mai 1979 | Computer Tecknik (Allemagne) |
Pascal MICROENGINE | 25874 | avril 1979 | Western Digital (USA) |
MICPER 8085 | 26490 | décembre 1977 | SOPEGE (France) |
MARK II | 29400 | Décembre 1978 | SORD (Japon) |
HORIZON | 30282 | fin 1976 | North Star (USA) |
FONTEL GALAXIE 3000 | 30576 | mars 1976 | Fontaine Informatique (France) |
MICRAL 80-25 | 34100 | 1979 | R2E (France) |
HDS 100 / JDS 100 | 34692 | janvier 1979 | Hermes Precisa International (Suisse) |
PCS II A | 35280 | septembre 1977 | Wang Labs Inc. (USA) |
HP 9825 A | 39314 | septembre 1976 | Hewlett Packard (USA) |
CROMENCO 2 CS 2 | 39984 | janvier 1979 | Cromemco (USA) |
TEXAS 770 | 40160 | janvier 1978 | Texas Instrument (USA) |
ISTC 5000 | 40160 | janvier 1979 | REX (USA) |
TEKTRONIX 4051 | 42429 | 1976 | Tektronix (USA) |
ALCYANE | 42453 | non précisé | MBC (France) |
VDP 42 | 42818 | 1978 | IMSAI (USA) |
GEDIS SYSTEME 500 | 43394 | 1978 | Feiler (Allemagne) |
ZENTEC ZMS 70 | 44000 | janvier 1979 | ZENTEC (USA) |
FONTEL ESPACE 2100 | 45064 | mars 1976 | Fontaine Informatique (France) |
VDP 44 | 45577 | 1978 | IMSAI (USA) |
FLL Europa | 46250 | 1978 | Feiler (Allemagne) |
PICOLOG 80 | 46745 | 1974 | Leanord (France) |
INTECOLOR 8051 | 47275 | 1977 | Intelligent Systems Corp. (USA) |
DMS | 48500 | mars 1979 | Calcomp-Dynalogic (USA) |
FONTEL ESPACE 2000 | 49768 | mars 1976 | Fontaine Informatique (France) |
P 6060 | 49980 | 1976 | OLIVETTI |
TA 20 SE | 49980 | mai 1977 | Triumph Adler (Allemagne) |
MICRAL 80-30 | 52900 | 1979 | R2E (France) |
PDT 11/150 | 53285 | juin 1978 | Digital Equipment (USA) |
MICROREP M 1200 | 55200 | avril 1979 | Microrep (France) |
EGERIE | 56906 | décembre 1978 | CORDA (France) |
TEXAS 771 | 57036 | septembre 1978 | Texas Instrument (USA) |
DTC MICROFILE MKII | 57756 | 1976 | Data Terminal and Communications (USA) |
SYS 80 FT | 58800 | avril 1978 | Mostek (USA) |
PSI 80 | 59000 | septembre 1978 | IMC (France) |
Qui a dit que la récursivité était impossible en BASIC ?
« LSE est limité ! », nous dit un élève qui l'apprend.
« LSE a des lacunes, comblons-les ! », suggère un enseignant qui trouve par ailleurs bien des qualités à LSE.
« Développons LSE plutôt qu'une imitation de BASIC », conclut un expert en LSE.
[auteur : Jean Baagoe, Bernard Forgeot, Bernard Savonet, J.J. Equoy, Michel Canal] #Langages #LSE
Extrait : « Les textes sur LSE présentés ici sont les derniers publiés en réaction à l'article paru dans notre numéro 4. Ce qui, bien sûr, ne veut pas dire que ce sont les derniers textes publiés sur LSE : tout simplement le moment nous semble venu dans ce forum d'avoir des articles sur ce langage, non plus tellement en réaction ou en complément de l'article initialement publié, mais plutôt montrant de façon claire et précise par des programmes utilisés comme exemples, certains points forts du langage ou certaines idées qu'il permet de mettre en oeuvre. Le but que nous nous étions fixé a été atteint : sortir de l'ignorance quasi-générale le langage LSE, quels que puissent être ses qualités et ses défauts. Savez-vous que les quelques textes que nous avons présentés représentent la presque totalité des textes publiés sur LSE jusqu'à ce jour dans la presse, les revues des enseignants exceptées ? Mais, avant de parler de LSE, nous commençons cette rubrique avec une lettre d'un de nos lecteurs qui concerne le BASIC […] »
#Livre
Extrait : « Micro-informatique, micro-électronique (dictionnaire de définitions) Henri Lilen et Pierre Morvan, Integrated Computer Systems, 1976, 92 FF, 352 pages
The best of the Computer Faires volume 4 (acte des conférences de la 4ème West Coast Computer Faire), Computer Faire, 1979, 12 $, 404 pages
Cours de programmation en langage BASIC, T. Rieul et J. Menard, 1979, 294 FF, 157 pages »
#Association
#Association
#Programme #BASIC #Algorithme
#Programme #BASIC #Algorithme
#Association
#Association
p.69 Terminal portatif LPT 2068.
p.71 Système IPL 110 pour cabinet médical.
p.72 Ordinateurs de table Tektronix.
p.72 Terminaux portatifs Matra.
p.72 Vénus pour le cabinet dentaire.
p.73 CAE pour ingénieurs conseils bâtiment.
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TI 59, TI 58, PC 100 B-C, modules enfichables
Compucolor II, I.S.T.S 5000, Apple-II
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LX 500, LX 510, LX 515, LX 600
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