Aussi pratique et omniprésent qu'un calepin, l'ordinateur au bureau s'est imposé grâce à des logiciels spécialisés; lesquels sont devenus d'énormes outils bon à tout taire.
Ils se sont immiscés avec les premiers OI sous les doigts des cols blancs. Se sont imposés comme instruments, puis comme méthodes de travail. Ont pullulé. (Voir « Repères » p, 9.) Devenus indispensables, on les trouve rassemblés dans des logiciels « intégrés », tout en un de l'informatique et, dernier luxe en date, complétés d'accessoires de bureau tels que calculatrice ou agenda. Cette richesse se traduit par un problème pratique de choix. Dans ce dossier, vous verrez travailler sous vos yeux les ténors du marché.
La rapide histoire de l'informatique de bureau ou les idées géniales du départ.
Symphony, Framework et Open Access : trois monuments à l'essai.
Ces accessoires de bureau ont pour noms : Sidekick, Polywindows ou Spotlight. Ils ajoutent aux progiciels des petits riens bien pratiques : calculatrice, horloge, agenda, etc.
Les mastodontes que sont les logiciels intégrés sont-ils la panacée aux problèmes de bureau ? Impressionnants et géniaux, ils le sont sûrement, mais tout n'est pas idyllique dans leur maniement.
De retour des Etats-Unis, notre reporter, extralucide pour l'occasion, a tiré les cartes et nous livre en exclusivité ses prédictions.
Tout n'est plus si rose dans cette vallée des miracles. Faillites, démissions, abandons : ciel, mais que se passe-t-il?
Lentement, la machinerie se met en route. Le gigantesque projet est sur les rails et un premier point est aujourd'hui possible. Belle et grande, cette entreprise connaît pourtant, déjà, ses premiers pleurs et grincements de dents.
Parler franc, provocation, le P.-d.g. d'Apple Seedrin y met du sien pour parler des victoires et des défaites, d'Apple... et des autres.
Plusieurs ordinateurs par classe, plus un disque dur. Le tout relié par un réseau local. C'est un rêve français, mais une réalité luxembourgeoise.
Ce professionnel de table étonne par sa forme tout en longueur, son faible volume, quelques bonnes idées et un petit prix en version de base : 11 800 FF ttc, avec plusieurs logiciels. Contre : des maladresses de conception. Pour : une facilité d'utilisation.
Le grand succès du gestionnaire de fichiers dBase 2 n'empêche pas le concepteur Ashton Tate de proposer maintenant un successeur à la hauteur. Le premier fonctionnait bien, celui-ci encore mieux.
Les mots de l'informatique ont des sens cachés. L'OI est fier de vous les révéler.
Découvrez les joies du modem grâce à l'interface RS 232 C de votre CBM 64.
A nouvelle rubrique, nouvelle passion : les secrets de la télématique.
Un logiciel gratuit pour travailler vos disquettes au bit près.
Un programme pour donner des consignes - donc un semblant d'intelligence - à un autre.
Oui, on peut encore innover en concevant un Pac Man.
Puissance 4, c'est bien. Puissance 5, c'est dément,
Laissez les lutins envahir le Dai. Vos jeux ne s'en sentiront que mieux.
Nous avons testé les deux derniers Pap : le Papman, portatif à lecteur de microdisquettes, sorte d'IBM PC de voyage, mais plus complet que lui en version de base. Le C, bien que très semblable, est seulement portable.
Donnez la vue à votre Mac. Du moins une caméra, et ce logiciel fera le reste.
II est petit. C'est un TI. Il est pro, mais portatif.
Japonais original, avec APL en mémoire.
Un traitement de texte et un tableur à un bon prix.
Une imprimante à marguerite différente.
Il tiendrait dans la poche, il ne coûte que 1100FF ttc, mais c'est vraiment un modem.
Le bataillon français se laisse distancer. L'outsider VG 5000 fait une remontée. Le CBM 64 caracole en tête.